27 octobre 2011
Y'a p'us d'saisons...
... ma bonne dame !
Une bizarrerie, il y a maintenant quelques jours de cela, avec les hausses de températures. Une bizarrerie poétique. Des surprises délicates de la nature sur mon lieu de travail. Des cocons laissés là par des chenilles, hors de vue et hors d'atteinte. Et un matin, en allumant mon ordinateur : un papillon, dressé, fièrement. Tout jaune. Transparent. Perché comme pour voir dehors.
Et le lendemain, un autre. Et encore un autre. Et cette délicatesse dont les enfants sont capables pour leur ouvrir la porte et leur offrir leur journée de liberté.
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